quinta-feira, 27 de janeiro de 2011

Les lumières du cimetière


Encore je me rappelle la première fois que je suis allé a Paris. L’émotion qui a senti en voir les images que, pendant plusieurs anées, habitaient mon esprit et mon désirs c'était inoubliable. Voltaire a dit a des temps que qui né a Paris c’est français deux fois et aprés voir la magie de la lumière française bien devant moi, j’ai compris parce que le poète se orgueillisait trop d’être parisien. Paris, Paris, capital du siècle XIX, tes veines, tes rues, tes rêves, tes amours perdus. Le marcher par le rues parisiennes, le regard des français, les croissants endormis, le charme, les monuments, la lumière, toujours la lumière...Depuis qu’était arrivée a Paris quelque choses me dévorait dedans. Par oú commencer a dévorer les mystères de la ville lumière? Pour moi, c’est comment couvrir un corps nouveau, mèconnu, à la recherche de quelque chose inattendu, d’une sensation nouvelle, un désir interdit.

Ainsi, la décision est venue abruptament: Père Lachaise. Je déjà avais écouté sur ce cimetière: leurs défunts célèbres, son passé glorieux! Père Lachaise, mon baptême parisien!!!!Rien plus naturel qu’un être comme moi, fruit de pages vieilles, pleines de mélancolie, decide de connaitrê Paris au moyen d’un cimetière. Là je me vais, guidé pour le dèsir, dans une direction à la redoute des défunts français. Impossible décrire la sensation de passée et de mémoire qui a senti dans le moment que je suis rentré dans le cimetière. Un mélange laconique de mélancolie a pris mon être.

Comme un homme à la recherche de lui même, j’ai commencé à marcher par les pentes du cimetière. je ne réussissais pas arrêter d’envisager les plusieurs photos des personnes qui là étaient obscurcies par le temps et condamnées à l'oubli. Les pentes me fatiguaient, tombes et plus tombes m'impliquaient. La photo de Sarah Bernardt me sourie. J”ai vu la tombe de Chopin et j’ai pu entendre que sa musique plainait par tout l’air. Soudain, je trouve une tombe grandiose, avec un buste enorme: c’est de Balzac. Alors, mon coeur a accéléré. Comme moi, dans le moyen de Paris, pouvais être là devant le merveilleux maître de la comédie humaine? Je souris, comme je sourirais autres fois à Paris.

Je marchais et dans chaque regard, une étoile oubliée: j’ai vu la célèbre tombe de Jim Morrison, les fleurs sans parfum d”Edith Piaf, la tombe la pleine de baisers de Oscar Wilde et dans le lit désiré de Proust j’ai pu avoir certitude que notre souvenirs pour plus tristes que soient sont pour tout le temps. Ainsi, l’angoisse m'a prise entièrement et dans ce musée de la mémoire, j'ai eu peur d’être oublié, peur de mourir et ne pas être immortalisé. Ainsi, J’ai decidé de sortir en courant comme un fou, faisait nuit, j'ai pu voir clairement que Paris existait, la vie existait et que le temps, les lumières, toujours les lumières, étaient là pour être vécus.

Texto sem revisão

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